Romain GERARDIN-FRESSE, conseiller star des grandes fortunes

Romain Gerardin-Fresse est le fondateur de Gfk Conseils-Juridis, qui dispose d’une solide réputation dans le traitement de dossiers techniquement complexes, nécessitant une expertise juridique étendue et la mise en œuvre de stratégies administratives, en particulier pour la restructuration ou l’expansion d’une structure commerciale. Romain Gerardin-Fresse est régulièrement invité à présenter son regard perspicace sur des questions thématiques, à la télévision et dans la presse écrite. Il répond également aux besoins des particuliers fortunés, des familles influentes et des gouvernements et contribue à l’ordre du jour du Forum économique mondial.
Gfk Conseils-Juridis a obtenu le prix du meilleur Luxury Multifamily Office 2019 et 2020 attribué par les Luxury Lifestyle Awards, a été sacré vainqueur national 2019 pour la France « Engagement qualité client et marché » dans la catégorie des entreprises totalisant 25 millions d’euros de chiffre d’affaires par les European Business Awards. Le cabinet a également reçu le prix du meilleur cabinet de gestion de crise de luxe de l’année 2019 par European Business Magazine avec 40.000 votes et il est favori à l’obtention du prix du meilleur cabinet de conseil en affaires et en réputation 2020 décerné par l’Executive Global Magazine.

Romain Gerardin-Fresse est en lice pour le Prix de l’Homme de l’Année 2020 et Juriste d’Affaire de l’Année 2020 remis par Business Worldwide Magazine.

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« Executive Global Magazine » examine en exclusivité certaines des figures les plus compétentes et les plus performantes dans de nombreuses industries du monde entier. Des services bancaires et financiers, de l’aviation privée, de l’énergie, de la technologie, du style de vie, des services aux entreprises et de la gestion de patrimoine, en passant par le juridique, l’éducation et le milieu universitaire, le magazine recense les leaders d’opinion et les décideurs de haut niveau dans leurs secteurs respectifs, et collecte leurs conseils pour réussir en affaires. Romain GERARDIN-FRESSE, figure du milieu du conseil, spécialisé dans l’accompagnement des hautes personnalités, des décideurs politiques et des dirigeants d’entreprises, vient de faire la Couverture de l’édition Hiver 2020 de l’«Executive Global Magazine », dans le cadre d’une interview dédiée aux Multi-Family Office de Luxe.

Extraits.

Executive Global Magazine : À votre avis, quelles mesures fondamentales devraient être prises par les familles d’élite qui veulent gérer leur patrimoine par l’entremise d’un Multi-Family Office?

Romain Gerardin-Fresse : La gestion de fortune est une tâche qui requiert différents paramètres d’excellence. Les hauts profiles ont d’ailleurs bien conscience que la gestion de leurs assets est une tâche sensible. Avant d’en confier la responsabilité à un Family-Office, ils doivent au préalable s’assurer que celui-ci saura intégrer l’ensemble des paradigmes qui sont propres à leur situation personnelle. En fonction de leurs besoins il faudra que leur gestionnaire puisse adapter sa réponse. Il devra pouvoir concilier leur volonté de rendement, avec la nécessité de conserver une part qui soit mobilisable à chaque instant, afin de satisfaire aux obligations courantes mais aussi aux imprévus qui peuvent survenir. Le piège réside dans une prétention d’une rentabilité trop importante, qui exposerait leurs fonds propres de manière inconsidérée. Le rôle d’un Family-Office est de savoir conseiller et orienter différemment ses clients, s’il se rend compte que leur souhait risque de compromettre la stabilité de leur assise financière. Un bon Family-Office ne doit pas simplement être un exécutant. Il doit avant tout se positionner comme un conseil, qui anticipe, crée des schémas d’investissement adaptés, et diversifie l’investissement de leurs actifs afin de toujours protéger ses clients, parfois même d’eux-mêmes. Avant de choisir un Family-Office plutôt qu’un autre, une famille d’élite doit s’assurer de sa renommée, mais aussi de sa capacité à pouvoir faire face aux évolution géopolitique et économique qui peuvent d’un jour à l’autre remettre en question la structuration de leur portefeuille. La puissance de ses réseaux et l’étendue des partenariats noués avec les banques privées qui correspondent à leur profil, notamment au travers des supports d’investissements, sont autant de paramètres qu’elle se doivent de considérer.

Executive Global Magazine : Et quels sont quelques-uns des exemples les plus réussis de gestion de patrimoine par un Multi Family Office efficace ?

Romain Gerardin-Fresse : La meilleure des réussites réside dans la longévité d’une relation d’affaire entre un Family-office et ses clients. Performer sur les marchés financiers lorsque tous les indicateurs sont au beau fixe est assez simple. Profiter de la vague d’un engouement général est à la portée d’à peu près tous les gestionnaires de fortune. A titre indicatif, la douceur des 5 dernières années, exceptées peut-être 2018 qui a été plus compliquée, a permis à certains fonds ou banque privées de réaliser une rentabilité moyenne pour un profil intermédiaire qui a pu atteindre les 15%. Mais réussir à maintenir un taux de rendement positif dans des périodes plus charnières ou plus difficiles, notamment par la diversification de ses supports d’investissements et par la découverte de nouveaux débouchés, telle que les prises de participation dans des programmes immobiliers partagés dans des pays émergents ou en plein essor, avec un effet de levier à deux chiffres, est un signe d’intelligence et d’adaptabilité qui demeure l’une des qualités premières d’un Family-Office. J’ai insisté sur le caractère de conseil d’un Family-Office pertinent. Savoir conserver le cap et tenir la barre, en persuadant ses clients de ne pas céder au vent de panique qui peut souffler sur les marchés financiers et de limiter la démobilisation de leus actifs positionnés sur des titres fortement décroissants, en intégrant une dimension pédagogique, est particulièrement important. Pour autant, il n’est pas question de laisser la superficie financière de ses clients s’amenuiser sans agir. En ayant anticipé et conservé une part mobilisable, il faudra profiter de cette période plus difficile pour partir à la recherche de nouveaux produits d’investissements qui demeurent rentables, en compensant ainsi la perte temporaire par un rebond proposé par ses nouveaux supports. Il ne faut jamais oublier que lorsqu’un titre est au plus bas, il ne pourra que remonter, et certains mécanismes permettent notamment d’utiliser ce déficit comme un outil d’optimisation de la fiscalité de ses clients.

Voir aussi : http://www.gestionfinanciere.fr/new/fresse.htm

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